vendredi 25 mai 2012

Les origines de Wall Street

L’histoire de Wall Street remonte au xviiè siècle, à l’époque où la future ville de New York appartenait à l’empire colonial néerlandais d’Amérique. La ville s’appelait alors « La Nouvelle Amsterdam » (principalement établie sur l'île de Manhattan), et la colonie était baptisée « Nouvelle-Néerlande ». Bien que le nom « Wall street » (signifiant « rue du mur » en anglais) tienne de l’existence d’un seul et même mur, à la place de la rue actuelle, les plans de la Nouvelle Amsterdam montrent deux noms différents pour cette rue. Quoi qu’il en soit, « De Waal Straat » (nom néerlandais) ne se rapporte pas à un mur, mais à un important groupe de colons qui participèrent à la création de la Nouvelle Amsterdam : des Wallons francophones, puisque étymologiquement, en néerlandais, un Wallon se dit « Waal ». En effet, vers 1630, la population totale de Nouvelle-Néerlande était de 300 personnes, dont une grande majorité de Wallons. Environ 270 personnes vivaient autour du Fort Amsterdam chargé de protéger la nouvelle ville, exerçant pour la plupart le métier de fermier.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Wall_Street

mardi 22 mai 2012

Young Leaders

Le programme Young Leaders est l'un des programmes phares de la French-American Foundation. Créé en 1981 dans le but de donner un nouveau souffle aux relations transatlantiques, il fêtera en 2011 sa 30ème promotion.
Le processus de sélection Young Leaders est très compétitif et attire chaque année davantage de candidatures. L'objectif de cette sélection prestigieuse est de créer et d'entretenir un réseau informel d'hommes et de femmes appelés à occuper des postes clefs dans l'un ou l'autre pays.
La French-American Foundation - France et la French-American Foundation à NY souhaitent sélectionner les personnalités les plus brillantes dans leur secteur d'activité. L'objectif de cette sélection est d'obtenir un groupe de Young Leaders qui soit à la fois équilibré en son sein et avec les sélections précédentes. Les candidats sélectionnés participent à deux séminaires de cinq jours sur deux années consécutives alternativement en France et aux Etats-Unis- afin d'échanger sur des sujets d'actualité communs aux deux pays et tisser des liens. Ces séminaires regroupent ainsi une trentaine de Young Leaders répartis pour moitié entre Français et Américains. Chaque participant est invité pour deux séminaires consécutifs. L'ordre du jour des rencontres aborde dans une ambiance informelle et conviviale les grands sujets d'actualité, sous la direction de personnalités et de spécialistes des questions débattues.
Nous comptons parmi les anciens Young Leaders de nombreux ministres du gouvernement actuel et des précédents, plusieurs hauts responsables de la presse écrite ou parlée, des présidents d'entreprises cotées au CAC 40 ou des secteurs de services et de haute technologie, mais aussi des artistes, écrivains, scientifiques...

http://www.french-american.org/leadership/young-leaders/index.html

Washington sur Seine ? Ces ministres de François Hollande qui ont été formés par les Américains

La French American Fondation est connue pour sa formation, les "Young Leaders", réservée à une dizaine de jeunes surdiplômés chaque année. Sur les huit socialistes sélectionnés comme Young Leaders depuis François Hollande en 1996, six rentrent dans son gouvernement cette semaine. Le plus "atlantiste" n'est pas toujours celui qu'on croit...

Exit Alain Juppé, Valérie Pécresse, Nathalie Kosciusko-Morizet, Laurent Wauquiez, Jeannette Bougrab... Place à François Hollande, Pierre Moscovici, Arnaud Montebourg, Marisol Touraine, Najat Vallaud-Belkacem, Aquilino Morelle (plume du Président), etc.

« Enfin des têtes nouvelles ! » entend-t-on ici ou là. Nouvelles ? Tout est relatif, quand on sait décrypter la liste ci-dessus : en fait, tous ces « Young Leaders » de l’UMP ont laissé la place à des « Young Leaders » du Parti socialiste. Car François Hollande et Pierre Moscovici depuis 1996, Marisol Touraine et Aquilino Morelle depuis 1998, Arnaud Montebourg depuis 2000 et Najat Vallaud-Belkacem depuis 2006, sont tous des « Young Leaders ». Tous ont été minutieusement sélectionnés et « formés » par ce très élitiste réseau Franco-Américain, inconnu du grand public, sponsorisé entre autres par la banque Lazard. En d’autres termes, ils ont tous postulé et se sont fait parrainer pour être admis à suivre ce programme phare mis en place par la FAF, la French American Fondation. La FAF est elle-même un organisme à cheval sur Paris et New-York, créée en 1976 conjointement par les présidents Ford et Giscard d’Estaing.

(...)

http://www.atlantico.fr/decryptage/gouvernement-hollande-formation-plus-atlantiste-qu-on-pourrait-croire-benjamin-dormann-366638.html

dimanche 20 mai 2012

Augustus D. Juilliard

Augustus D. Juilliard, Juilliard founder, was born at sea April 19, 1836 during his parent's three month voyage from France to America. Augustus Juilliard's father, Jean Nicolas Juilliard, was a shoemaker and both Jean Nicolas Juilliard and his wife, Anna (Burlette) Juilliard were Huguenots, or Protestants, from Burgundy. The Juilliard family emigrated to and settled in Ohio to work in the dry goods market. Augustus Juilliard often traveled to New York on buying trips and impressed textile merchants with his fluent French.

In 1866, the Juilliard founder settled in New York and worked for a manufacturing company of worsted fabrics. The company went bankrupt seven years later in 1873 and Augustus Juilliard created his own corporation, the Augustus D. Juilliard Company, in 1874 distributing textiles including wool, silk, and cotton. Augustus Juilliard became very wealthy through his business' success and remained the senior partner of his company until his death.

Juilliard Founder, Augustus JuilliardJuilliard was a very genial and charming man and has been described as "possessing outstanding executive ability, high character, unusually keen business sense and a forceful, commanding personality." Augustus Juilliard had an extremely wide range of interests including a love of music and was greatly sought for his sound judgment and advice. Augustus Juilliard married Helen Marcelus Cositt in 1877, but they never had children. Together, Augustus and Helen built two houses in the city and he became a board member of the Metropolitan Opera, which he actively supported until his death. Juilliard loved the opera and was always expanding his knowledge by asking questions of trained musicians about opera.Because of his prestige and varied interests, the Juilliard founder became involved in the political world. He was involved in a landmark Supreme Court case involving the government's right to issue paper money with legal-tender status. The Augustus Juilliard also spent much of his time in Washington DC testifying before the house Ways and Means Committee in favor of equalizing the tariff on woolens and worsteds. In 1893, the Juilliard Founder supported William McKinley in his successful presidential election, having met him when McKinley was on the Ways and Means Committee. Juilliard's wife died in 1916 and his own death was soon to follow.
Augustus D. Juilliard died on April 25, 1919 at the age of eighty-three and was buried in a mausoleum in Woodlawn Cemetery. On June 27, 1919, Augustus Juilliard's will was read and to the amazement of all, Juilliard had left millions in a bequest to set up a corporation that was to be known as the Juilliard Musical Foundation. Several million more were distributed to other recipients, but the primary beneficiary was Juilliard's nephew, Frederick Juilliard, who was also named one of three trustees of the Juilliard Musical Foundation (JMF). The Juilliard founder, however, had the great disadvantage of not being able to directly influence or specify how his money was to be used to run his own school. The JMF later joined with the Institute of Musical Art and formed the now world renowned performing arts institution, The Juilliard School.

Juilliard Founder, Augustus Juilliard

There have been discrepancies in the exact sum that was left in trust for the JMF. The amount was first reported to be $5 million dollars and was later exaggerated by the press and media to $20 million. The actual amount was somewhere in the vicinity of $12.5 to $13.5 million dollars, making this one of the largest single bequests ever for the development of music. Augustus D. Juilliard, Juilliard's founder, provided a great service through his generosity to the artistic community and through artists to humanity in general.

http://www.hire-juilliard-musicians.com/Juilliard_Founder.html

samedi 19 mai 2012

Le libéralisme, une haine française

Mathieu Laine est l’un des rares intellectuels français libéraux. Il explique pourquoi ce courant de pensée est autant rejeté dans notre pays.

A vos yeux, qui était le candidat le plus libéral de cette campagne présidentielle ?

Il n’y avait aucun candidat libéral dans une campagne qui a atteint des sommets de démagogie et qui flattait deux bas instincts humains : la peur et l’envie. L’antilibéralisme était même le seul point commun des dix candidats. Un peu comme si la France pouvait penser son avenir sans prendre conscience que nous vivons dans une société ouverte, que les modèles sociaux sont mis en concurrence, que les personnes et les capitaux peuvent aisément franchir les frontières. Quel archaïsme de la pensée ! Je suis heureux que cette campagne soit terminée pour que la réalité reprenne ses droits.

Pourquoi le libéralisme est-il considéré en France comme une sorte de maladie honteuse ?

Les Français n’aiment pas le libéralisme parce qu’ils ne le connaissent pas ! Ils pensent, tout d’abord, qu’il est anglo-saxon, alors qu’il est très largement né en France. Le libéralisme émerge vraiment au XVIIIe siècle sous la plume de Boisguilbert, Condorcet, Turgot, Montesquieu et Voltaire. Il connaît ensuite un “âge d’or” dans la première moitié du XIXe siècle autour des figures de Say, Bastiat, Constant et Tocqueville. Nous ne sommes donc pas que les héritiers de Colbert et de Rousseau ! Ensuite, beaucoup de Français le voient comme un anarchisme. S’il est vrai que certains auteurs ont poussé leur raisonnement jusqu’à l’anarcho-capitalisme (l’Américain Murray Rothbard par exemple), l’immense majorité des libéraux, d’Aron à Hayek, accorde un rôle non négligeable à l’État.

(...)

Dictionnaire du libéralisme, par Matthieu Laine, Larousse, 720 pages, 28,50 €.

http://www.valeursactuelles.com/actualit%C3%A9s/soci%C3%A9t%C3%A9/lib%C3%A9ralisme-une-haine-fran%C3%A7aise20120507.html

L'exil fiscal du cofondateur de Facebook agace aux Etats-Unis

Deux sénateurs américains ulcérés par l'exil d'un des cofondateurs de Facebook, Eduardo Saverin, ont décidé de sévir face aux millions de dollars de plus-values qui échapperont au fisc lors de l'introduction en Bourse du réseau social.

Eduardo Saverin a renoncé à la nationalité américaine en septembre pour s'installer à Singapour. A la veille de l'introduction en Bourse de Facebook, les sénateurs démocrates Chuck Schumer et Bob Casey estiment que cette décision a été motivée par des raisons fiscales.

"Eduardo Saverin veut 'défriender' les Etats-Unis d'Amérique pour éviter de payer des impôts. Et nous n'allons pas le laisser s'en tirer comme ça", a martelé jeudi 17 mai lors d'une conférence de presse Chuck Schumer, en présentant un projet de loi pour pénaliser Eduardo Saverin.

Le texte des sénateurs prévoit d'interdire l'entrée sur le territoire américain des personnes qui renoncent à la nationalité américaine pour des raisons fiscales. En outre, il leur imposerait une taxe de 30% pour leurs investissements aux Etats-Unis.

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http://www.challenges.fr/entreprise/20120518.CHA6569/l-exil-fiscal-du-cofondateur-de-facebook-agace-aux-etats-unis.html

samedi 12 mai 2012

Georges Doriot

Georges Doriot (Georges Frédéric Doriot), connu aux États-Unis sous le nom de Georges F. Doriot (24 septembre 1899, Paris 17e – 2 juin 1987, Boston) est un professeur de management et inventeur du capital-risque.

Il commença sa carrière dans l’armée, comme officier d’artillerie. Passionné par le management, une discipline alors naissante, il choisit en 1921 de faire un MBA à Harvard, où il devint finalement professeur. Il se fait naturaliser citoyen américain en 1940, et choisit de travailler dans l’armée américaine, atteignant le grade de général de brigade (brigadier general).
C’est en 1946 qu’il révolutionne le modèle entrepreneurial en créant l’American Research and Development Corporation (AR&D), la première société de capital-risque.
En 1957, conjointement avec d’autres personnes, il créa l’INSEAD. Il s’inspira du modèle des business school américaines bien plus que des écoles de commerce alors existantes en France. C'est également en 1957 qu'il fournira (via sa société AR&D), le capital initial (70 000 dollars) de la société informatique 'Digital Equipment Corporation'.
Il meurt d’un cancer de la gorge en 1987.
Le Wall Street Journal du 29 novembre 1999 a établi une liste des dix personnalités qui ont changé le monde des entrepreneurs. Georges Doriot figure en sixième place de ce classement.

-"Someone, somewhere, is making a product that will make your product obsolete."

http://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Doriot

Les taxis new-yorkais


Je ne pensais pas qu'il existait de pires chauffeurs de taxis qu'à Paris et Cuba... WROOOONG !
La multitude de taxis analphabètes parlant un anglais approximatif feront de votre séjour new-yorkais un enfer...
J'ai du attendre 1 HEURE pour trouver un taxi qui accepte de faire 33è → 119è rue. En effet ces chauffeurs TOUS immigrés refusent la plupart du temps d'aller à Harlem!
Y aurait-il un racisme sévère entre ces chauffeurs du sous-continent indien et les noirs?  Hmmmm  so fuckin' YES!

Le Métro sera bieeeeen plus rapide. A moins, évidemment que vous n'ayez bcp de bagages et là.... ENJOY!

Quand bien même vous aurez l'amabilité de faire des trajets "convenables" pour ces abrutis. Ils seront tous désagréables, perdus dans leur plan (car, vous comprenez, ils sont chauffeurs de taxis à New-york mais se croient encore à Bombay ou Islamabad) au téléphone avec leur femme à Delhi en pleine cuisson pilaf, en train de renifler bruyamment comme un porc, en train de manger au volant ou encore ne bougeront pas le petit doigt pour vous aider à charger vos bagages...BREF les taxis new-yorkais sont une abomination!