jeudi 8 décembre 2011

LE FILM “INTOUCHABLES ” TAXÉ DE “RACISME” AUX ETATS-UNIS

Même le torchon du Guardian n'avait pas été aussi loin dans la bêtise que l'inénarrable Jay Weissberg de Variety, qui il a y 3 mois maintenant, nous expliquait à quel point le personnage d'Intouchables est traité comme un singe...WTF?

On attend une analyse en règle de Training Day où un noir (riche et influent) pourrit la vie, la carrière, et accessoirement met en danger de mort, un blanc (fauché et intègre)

C'est marrant ce racisme à l'envers qui cherche à inverser la supériorité morale...
En France, c'est Rue89 et Mediapart qui sont chargés de cette sale besogne.
Bizarrement, quand on compulse Google Image sur leurs employés...Il n'y a que des blancs!
http://presite.mediapart.fr/atelier-journal/equipe.html
http://www.variety.com/static-pages/about/staff/
http://www.rue89.com/qui-sommes-nous

Heureusement qu'il y a d'excellentes séries, telles Braquo en France ou Breaking Bad aux US qui ne s'embarrassent pas de considérations racialo-puristes afin de ne pas sombrer ds le dangereux monde des bisounours bien-pensants...


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C’est la bonne, l’excellente surprise, du cinéma français cette année. “ Intouchables ”, qui a par exemple déjà été vu par plus d’un Français sur 5 en salles depuis son lancement début novembre, essaye de vivre le même lancement tonitruant aux Etats-Unis. Mais là, ça coince un peu au niveau des critiques.

Le magazine référent Variety, repris par le New York Times, a vu dans le film du “racisme digne de l’Oncle Tom qui a, on l’espère, définitivement disparu des écrans américains”.

“ Driss est traité comme le singe d’un spectacle de cirque, avec toutes les associations racistes de ce terme, expliquant au blanc coincé comment s’amuser en remplaçant Vivaldi par Boogie Wonderland et lui montrant comment bouger sur le dancefloor”, note ainsi le magazine spécialisé, qui applaudit la performance et le talent d’Omar Sy mais regrette que le rôle soit si stéréotypé.

“On est mal à l’aise de voir Omar Sy, un acteur charismatique et joyeux, dans un rôle qui n’est pas bien loin du cliché de l’esclave d’antan, qui amuse son maître tout en représentant tous les stéréotypes de classe et de race”

http://www.sudpresse.be/culture/cinema/2011-12-08/le-film-intouchables-taxe-de-racisme-aux-etats-unis-923341.shtml

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But “Intouchables” has also been criticized for its idealistic vision of a world without social gaps, where an aristocrat can befriend an ex-con. The newspaper Libération denounced “the dictatorship of emotion as a camouflage to the total absence of thought,” while Variety pointed at what it called the film’s primitive racism, describing Driss as “a role barely removed from the jolly house slave of yore.”

The movie, Variety’s writer added, “flings about the kind of Uncle Tom racism one hopes has permanently exited American screens.”


http://www.nytimes.com/2011/12/08/movies/intouchables-is-a-magnet-for-french-moviegoers.html?scp=1&sq=driss&st=cse

Rappel: "The United States imprisons more of its racial minorities than any other country in the world. In Washington D.C., three out of every four young black men are expected to serve some time in prison. In major cities across the country, 80% of young African Americans now have criminal records."

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